La vie dans le grand Nord
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La chasse dans le Grand Nord Il fallait une manière de vivre pleine d'ingéniosité et de courage pour survivre dans ce territoire Subarctique. En effet les étés trop courts et les hivers rigoureux étaient le lot courant dans les profondes forêts du Nord et dans la toundra. Chasser et pêcher étaient les occupations de ces tribus, qui étaient, il faut le préciser, toutes nomades. Les CHIPEWYANS, suivaient la migration des Caribous, les OJIBWAS chasssaient en forêt et se déplaçaient ainsi de campement d'hiver à camps d'été.Enfin, les NASKAPIS de la Taiga , vivaient de par le Caribou, l'Elan et le Castor. Ils conservaient tout, viande et poisson au moyen du séchage et fumage. Enfin , toutes ces tribus utilisaient le Wigwam, les raquettes pour se déplacer sur la neige, le Canoé ( en écorce de Bouleau) et bien sur.............. Chose primordiale les vêtements en peau. |
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Manteau du Grand Nord
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L'hiver, les Indiens
portaient des vétements chauds en peau tannée de Caribou
avec les poils à l'intèrieur. Parfois les enfants
se contentaient de fourrures en peaux de lapins.
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L'esprit de l'Ours. Les Indiens chassaient l'Ours mais le redoutaient à cause des pouvoirs qu'ils lui attribuaient : Par exemple le crâne servait de charme car il contenait l'esprit de l'animal. Le chasseur communiquait avec l'esprit de l'Ours, pour lui demander la permission de le tuer, afin d'avoir à manger et de pouvoir se vétir. |
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Crâne d'Ours
décoré
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Raquette pour enfant Le cadre était un long morceau de Bouleau travaillé à la vapeur afin de l'assouplir et le courber.Puis, on le mettait à sécher en mettant une barre transversale pour maintenir l'ovale. Ensuite ,le filet était confectionné avec des lanières de peau. La forme et la taille dépendaient de la région et surtout de son enneigement. |
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Os de Caribou C'était les femmes qui préparaient les peaux .A l'aide d'un os de Caribou (çi contre), coupé en deux, elles grattaient la chair et même parfois les poils. Une fois lavée, la peau était mise à sécher, puis travaillée à la main pour l'assouplir. Enfin, on l'exposait à la fumée. |
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